Tout laissé derrière soi
C'est le plus dur des choix. On part sans possibilité de retour enfin dans l'immédiat. Quand vous prenez l'avion, l'acceptation de l'oublie est plus facile, mais en voiture vous seriez tenté de faire demi-tour. Donc un post stresse du départ. Ne rien oublier.
Puis vous partez chez une amie, dernier rempart de l'oublie, c'est de la raison portée par une autre personne. Et quand les deux se rejoignent, c'est le moment de mettre un pas en avant. Aussi dur que l'ourson qui, poussé par sa mère, part dans l'inconnu. La clé de contact, départ avec une carte de crédit avec paiement sans contact pour les autoroutes, se rappeler des bons coins où s'arrêter, manger le bon dîner préparé la veille et se dire, quand on arrive à la moitié de la jauge d'essence, on fait le plein
Trouvé un endroit où dormir
Je mettais fixé 17 h 00 pour chercher un hôtel selon où j'étais. Mais voilà, les projections d'itinéraire et la réalité cela fait deux. Donc, à 17 h 00, je me trouve vers un endroit sympathique près d'une ville au bord de la mer. Gogogo j'y vais, à travers la montagne et chaussé, on arrive dans un village avec plein d'hôtel et pas un parking. Je ne me voyais pas trop transporter mes valises, car certaines ne pouvaient pas rester dans la voiture et chercher un hôtel qui soit sympa et convivial. Quand on est libre alors on est libre de choix. Je fais donc demi-tour, mais en même temps, j'avais remarqué un hôtel à l'entrée de la vallée que je n'ai jamais retrouvé.
Le temps passe vite, le soleil a envie de se coucher, le conducteur à envie de suivre le soleil. Sur le GPS, je vois une ville avec un hôtel, car il n'est plus question de choix, mais de trouver autre chose que ça voiture pour dormir. Je suis le GPS qui m'envoie dans une ville aux sens interdits, aux obligations de tourner et aux rues étroites. Si c'est ça la liberté ? Je fais demi-tour, je m'arrête sur une route nationale, car en Espagne les aires de repos, ou stations d'essence ça se fait de plus en plus rare.
Le paradis vient alors à moi
J'arrive de nuit dans la région de Torredembarra. J'ai deux hôtels sur mon GPS. J'y vais, mais voilà, j'arrive à une déchetterie. Triste destin d'un voyageur libre de finir dans les ordures. Je regarde le suivant "Hôtel Paradis". Je me dis que le 1er avril est déjà passé, que les cieux se moquent d'un homme athée, juste pour lui dire que la liberté n'existe pas. Alors j'y vais, dernier recourt, dernier espoir, dernière ligne droite. Une place devant l'hôtel, il est 19 h 45 et je suis à 924 km sur 1 280 km. Un beau raté-là, mais il y a de la place et un restaurant ouvert juste à côté. Le tout pour une misère €. Mais voilà le restaurent ne fait pas à manger avant 8 h 30. Pas grave, la liberté commence, les apéros aussi et enfin, je peux réaliser que je suis enfin parti en passant par le Paradis et de réalisé que je me moque de l'oublie.
Direction Dénia
Le Paradis m'a donné un horaire très cool pour les 384 km qui reste. Petit déjeuné à l'Espagnole et je me permets de prendre les petites routes. Contour de Valence par l'autoroute et arrivé à Dénia, dans la maison familiale.
Bon Dénia est une ville connue, je ne parle pas espagnole mais anglais, français. Une hantise, êtres le pigeon de la farce que tout le monde veux manger. Là, je pourrais écrire des pages et des pages sur les tentatives d'extorsion d'argent par manque de connaissances. Heureusement, en tant qu'analyse en informatique, les études de cas rapides mon permis d'écarter les gens malhonnêtes et de passer 6 mois de rêves. Même la police n'a pas réussi à me faire plier, c'est le contraire. L'homme que je suis est devenu libre et agile comme le roseau. Et rien ne peut l'arrêter ou le faire plier.
La maison familiale
Mon papa et sa femme ont acquis la maison dans les années 80 pour leur retraite.
J'ai vécu en Espagne de mai à octobre 2023 et personnellement, j'ai trouvé la région sympathique, mais ça, je la connaissais depuis plus de 40 ans.
La gastronomie très sympa, mais il y a des mois rigoureux et des mois trop chauds. Après le coût de la vie par apport à la Suisse est environ x 3... en moins.
Donc rien que pour cela, oui, Dénia est un paradis.
Restent les soins, si vous êtes handicapé, c'est comme en France, vous devez payer l'EMS (EHPAD). Il n'est pas dit que votre AVS suffise.
En Suisse, il fait plus froid, mais l'été y est plus agréable qu'à Dénia. Mois chaud
Avoir une piscine en juillet qui frôle les 40 degrés, c'est très chaud. C'est un choix qui leur a permis d'être dans un endroit convivial environ 30 ans.
Mais quand je suis arrivé, il faisait 15 degrés en mai. Mais vite en juin la piscine, terrasses étaient agréables.
Mais il y a la Gota-Frilla. Un thermo-glace qui débarque à partir de fin août. La piscine tourne, la température chute d'un coup et on est déjà en automne. En Suisse, on a des automnes plus sympa, mais de vrais hivers. La neige en trente ans est venue en haut du MontGo que quelques fois. Reste que l'on vit mieux si on accepte les points négatifs.
Tout laissé derrière soi
C'est le plus dur des choix. On part sans possibilité de retour enfin dans l'immédiat. Quand vous prenez l'avion, l'acceptation de l'oublie est plus facile, mais en voiture vous seriez tenté de faire demi-tour. Donc un post stresse du départ. Ne rien oublier.
Puis vous partez chez une amie, dernier rempart de l'oublie, c'est de la raison portée par une autre personne. Et quand les deux se rejoignent, c'est le moment de mettre un pas en avant. Aussi dur que l'ourson qui, poussé par sa mère, part dans l'inconnu. La clé de contact, départ avec une carte de crédit avec paiement sans contact pour les autoroutes, se rappeler des bons coins où s'arrêter, manger le bon dîner préparé la veille et se dire, quand on arrive à la moitié de la jauge d'essence, on fait le plein
Trouvé un endroit où dormir
Je mettais fixé 17 h 00 pour chercher un hôtel selon où j'étais. Mais voilà, les projections d'itinéraire et la réalité cela fait deux. Donc, à 17 h 00, je me trouve vers un endroit sympathique près d'une ville au bord de la mer. Gogogo j'y vais, à travers la montagne et chaussé, on arrive dans un village avec plein d'hôtel et pas un parking. Je ne me voyais pas trop transporter mes valises, car certaines ne pouvaient pas rester dans la voiture et chercher un hôtel qui soit sympa et convivial. Quand on est libre alors on est libre de choix. Je fais donc demi-tour, mais en même temps, j'avais remarqué un hôtel à l'entrée de la vallée que je n'ai jamais retrouvé.
Le temps passe vite, le soleil a envie de se coucher, le conducteur à envie de suivre le soleil. Sur le GPS, je vois une ville avec un hôtel, car il n'est plus question de choix, mais de trouver autre chose que ça voiture pour dormir. Je suis le GPS qui m'envoie dans une ville aux sens interdits, aux obligations de tourner et aux rues étroites. Si c'est ça la liberté ? Je fais demi-tour, je m'arrête sur une route nationale, car en Espagne les aires de repos, ou stations d'essence ça se fait de plus en plus rare.
Le paradis vient alors à moi
J'arrive de nuit dans la région de Torredembarra. J'ai deux hôtels sur mon GPS. J'y vais, mais voilà, j'arrive à une déchetterie. Triste destin d'un voyageur libre de finir dans les ordures. Je regarde le suivant "Hôtel Paradis". Je me dis que le 1er avril est déjà passé, que les cieux se moquent d'un homme athée, juste pour lui dire que la liberté n'existe pas. Alors j'y vais, dernier recourt, dernier espoir, dernière ligne droite. Une place devant l'hôtel, il est 19 h 45 et je suis à 924 km sur 1 280 km. Un beau raté-là, mais il y a de la place et un restaurant ouvert juste à côté. Le tout pour une misère €. Mais voilà le restaurent ne fait pas à manger avant 8 h 30. Pas grave, la liberté commence, les apéros aussi et enfin, je peux réaliser que je suis enfin parti en passant par le Paradis et de réalisé que je me moque de l'oublie.
Direction Dénia
Le Paradis m'a donné un horaire très cool pour les 384 km qui reste. Petit déjeuné à l'Espagnole et je me permets de prendre les petites routes. Contour de Valence par l'autoroute et arrivé à Dénia, dans la maison familiale.
Bon Dénia est une ville connue, je ne parle pas espagnole mais anglais, français. Une hantise, êtres le pigeon de la farce que tout le monde veux manger. Là, je pourrais écrire des pages et des pages sur les tentatives d'extorsion d'argent par manque de connaissances. Heureusement, en tant qu'analyse en informatique, les études de cas rapides mon permis d'écarter les gens malhonnêtes et de passer 6 mois de rêves. Même la police n'a pas réussi à me faire plier, c'est le contraire. L'homme que je suis est devenu libre et agile comme le roseau. Et rien ne peut l'arrêter ou le faire plier.